Les failles de la vérification d’entreprise avant 2010 et leurs conséquences
Avant 2010, les contrôles KYB étaient extrêmement limités. Retour sur les failles des procédures de due diligence B2B qui ont favorisé la fraude et les sociétés écrans.

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Avant 2010, les contrôles KYB étaient extrêmement limités. Retour sur les failles des procédures de due diligence B2B qui ont favorisé la fraude et les sociétés écrans.

Avant l’introduction des directives européennes renforçant la conformité KYB, le contrôle des entreprises partenaires était largement insuffisant. Les mécanismes de lutte contre la fraude et le blanchiment souffraient d’un manque d’outils, de réglementation et d’accès aux informations juridiques.
Les entreprises criminelles profitaient pleinement de la situation :
Les plateformes financières émergentes, les néobanques et les services numériques ont été particulièrement exposés aux risques d’usurpation d’identité d’entreprise et de fraude documentaire.
Les contrôles reposaient sur des recherches humaines, souvent incomplètes :
Résultat : des scandales financiers majeurs ont révélé l’ampleur des failles dans la conformité AML, poussant les régulateurs à renforcer le cadre réglementaire.
Les institutions européennes ont alors commencé à développer des politiques visant :
Cette transition marque le début d’un processus de transformation profonde qui continue encore aujourd’hui.
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